A Ciudad del Este, j’effleure le Brésil.
9 novembre 2021
Retour à la capitale.
22 novembre 2021
A Ciudad del Este, j’effleure le Brésil.
9 novembre 2021
Retour à la capitale.
22 novembre 2021

Depuis mon passage à Ciudad Del Este, j’ai roulé plein sud sur des terres fertiles qui furent notamment choisies par les Jésuites pour y installer leurs missions. La région est aujourd’hui, comme une bonne partie du pays, un véritable patchwork humain. On y trouve des descendants de migrants, russes, ukrainiens, canadiens, brésiliens, français, allemands…chacun avec son histoire. Cette mixité constitue une des richesses du Paraguay.

Tout au long de ma route je suis marqué par la gentillesse de cette population. Comme dans une trop grande partie du monde, d’énormes inégalités subsistent, mais elles ne viennent nullement altérer l’affabilité des habitants.

D’imposants silos à grains abritent les récoltes de maïs ou de soja qui le plus souvent, proviennent de terres cultivées par des brésiliens.

J’ai droit à quelques orages dont un particulièrement généreux à mon arrivée à Jésus du Tavarangué où, au cœur de cette région luxuriante, je visite les ruines de la mission crée en 1685. La mission suivante est aussi la dernière construite par les Jésuites en 1706. C’est celle de la « Santissima Trinidad del Parana ». Les deux sont classées au patrimoine universel de l’Unesco.

Puis j’enchaine tranquillement les kilomètres jusqu’à la ville d’Encarnacion où j’aperçois de l’autre côté du Rio Parana, la ville de Posadas qui avait été en 2001 le lieu de mon premier contact avec l’Argentine.

Dès lors j’entame ma remontée vers Asuncion. Chemin faisant, j’emprunte une piste en terre rouge qui me mène à San Cosme y Damian. Nouvelle mission Jésuite dans un cadre verdoyant où le bétail broute paisiblement dans les pâturages environnants.

Aujourd’hui, je fais une pause à San Ignacio de las Misiones, où en 1609, fût crée la première mission Jésuite du Paraguay.

Depuis mon passage à Ciudad Del Este, j’ai roulé plein sud sur des terres fertiles qui furent notamment choisies par les Jésuites pour y installer leurs missions. La région est aujourd’hui, comme une bonne partie du pays, un véritable patchwork humain. On y trouve des descendants de migrants, russes, ukrainiens, canadiens, brésiliens, français, allemands…chacun avec son histoire. Cette mixité constitue une des richesses du Paraguay.

Tout au long de ma route je suis marqué par la gentillesse de cette population. Comme dans une trop grande partie du monde, d’énormes inégalités subsistent, mais elles ne viennent nullement altérer l’affabilité des habitants.

D’imposants silos à grains abritent les récoltes de maïs ou de soja qui le plus souvent, proviennent de terres cultivées par des brésiliens.

J’ai droit à quelques orages dont un particulièrement généreux à mon arrivée à Jésus du Tavarangué où, au cœur de cette région luxuriante, je visite les ruines de la mission crée en 1685. La mission suivante est aussi la dernière construite par les Jésuites en 1706. C’est celle de la « Santissima Trinidad del Parana ». Les deux sont classées au patrimoine universel de l’Unesco.

Puis j’enchaine tranquillement les kilomètres jusqu’à la ville d’Encarnacion où j’aperçois de l’autre côté du Rio Parana, la ville de Posadas qui avait été en 2001 le lieu de mon premier contact avec l’Argentine.

Dès lors j’entame ma remontée vers Asuncion. Chemin faisant, j’emprunte une piste en terre rouge qui me mène à San Cosme y Damian. Nouvelle mission Jésuite dans un cadre verdoyant où le bétail broute paisiblement dans les pâturages environnants.

Aujourd’hui, je fais une pause à San Ignacio de las Misiones, où en 1609, fût crée la première mission Jésuite du Paraguay.

D’ici la capitale, je vais lambiner afin de profiter des mes derniers jours dans ce pays qui a beaucoup évolué depuis mon précédent passage, mais où la sympathie demeure une constante dont les habitants peuvent être fiers.

D’ici la capitale, je vais lambiner afin de profiter des mes derniers jours dans ce pays qui a beaucoup évolué depuis mon précédent passage, mais où la sympathie demeure une constante dont les habitants peuvent être fiers.