A Assouan, les Nil est un lieu de vie sur lequel le va-et-vient des Felouques rajoute un plus au pittoresque de la ville.

Si quelques visites sont au programme des prochains jours, je dois surtout m’occuper de mon transit en avion vers l’Éthiopie, car le Soudan, actuellement en guerre civile, ne m’accorde pas le visa.

C’est donc à contre cœur que je vais emprunter les airs, d’autant qu’à ces moments-là, le poids de mon vélo constitue un réel handicap.  Je pense arriver en Éthiopie pour le 4 juin au matin.